Atelier
ATELIER DE SENSIBILISATION À LA PRÉVENTION DU SUICIDE ET
DE LA SANTÉ MENTALE
Mise en contexte :
Lorsque l’on vit la perte d’un premier répondant par suicide, cela a non seulement un effet dévastateur sur la famille de la personne décédée, mais également sur toute la grande famille et la communauté de l’organisation concernée.
Par leur fonction, ces intervenants de première lignes ont l’habitude de répondre à des appels de détresse de la population. Cette détresse se juxtapose parfois avec des citoyens ayant des problèmes de santé mentale.
Mais, lorsque ce problème touche un des leurs, ou eux-mêmes, à travers leurs propres histoires ou expériences de vie, que cela soit temporaire ou à long terme, ils se sentent démunis. Nous savons tous qu’il y a une grande solidarité entre les gens en uniformes au sein d’une même organisation. Toutefois, à chaque fois qu’un d’entre eux met fin à ses jours, c’est la consternation générale. De nombreuses questions refont souvent surface pour lesquelles nous n’avons ni règle ni réponse et en voici quelques-unes :
• Dois-je dénoncer la personne qui démontre des signes de détresse ?
• Comment intervenir auprès d’un confrère de travail ou d’un employé en difficulté ?
• Comment identifier un trouble ou un problème de santé mentale ?
• À quel moment un superviseur doit-il retirer un intervenant des opérations lorsque celui-ci démontre de la détresse ?
• Que peut-on faire comme organisation pour soutenir ces intervenants après le suicide d’un confrère de travail ?
• Quel lien devons-nous établir avec les familles éprouvées à la suite du suicide d’un confrère ?
Encore aujourd’hui, malgré tous les efforts qui sont faits en prévention suicide dans les diverses organisations, nous avons malheureusement du travail à poursuivre pour contrer ce fléau. Dans les derniers mois, au Québec, il y a encore eu trop d’intervenants de première ligne qui se sont enlevé la vie. Comme la vie d’une personne n’a pas de prix, il va de soi que nous devons tout faire pour poursuivre dans la prévention.
La santé mentale au sein d’une organisation… c’est L’AFFAIRE DE TOUS. Les métiers d’urgence sont difficiles et le soutien aux gestionnaires et aux équipes de travail est un prérequis à une communauté d’intervenants en bonne santé mentale pour mieux servir la clientèle qu’elle dessert.
Lorsque l’on vit la perte d’un premier répondant par suicide, cela a non seulement un effet dévastateur sur la famille de la personne décédée, mais également sur toute la grande famille et la communauté de l’organisation concernée.
Par leur fonction, ces intervenants de première lignes ont l’habitude de répondre à des appels de détresse de la population. Cette détresse se juxtapose parfois avec des citoyens ayant des problèmes de santé mentale.
Mais, lorsque ce problème touche un des leurs, ou eux-mêmes, à travers leurs propres histoires ou expériences de vie, que cela soit temporaire ou à long terme, ils se sentent démunis. Nous savons tous qu’il y a une grande solidarité entre les gens en uniformes au sein d’une même organisation. Toutefois, à chaque fois qu’un d’entre eux met fin à ses jours, c’est la consternation générale. De nombreuses questions refont souvent surface pour lesquelles nous n’avons ni règle ni réponse et en voici quelques-unes :
• Dois-je dénoncer la personne qui démontre des signes de détresse ?
• Comment intervenir auprès d’un confrère de travail ou d’un employé en difficulté?
• Comment identifier un trouble ou un problème de santé mentale ?
• À quel moment un superviseur doit-il retirer un intervenant des opérations lorsque celui-ci démontre de la détresse?
• Que peut-on faire comme organisation pour soutenir ces intervenants après le suicide d’un confrère de travail ?
• Quel lien devons-nous établir avec les familles éprouvées à la suite du suicide d’un confrère ?
Encore aujourd’hui, malgré tous les efforts qui sont faits en prévention suicide dans les diverses organisations, nous avons malheureusement du travail à poursuivre pour contrer ce fléau. Dans les derniers mois, au Québec, il y a encore eu trop d’intervenants de première ligne qui se sont enlevé la vie. Comme la vie d’une personne n’a pas de prix, il va de soi que nous devons tout faire pour poursuivre dans la prévention.
La santé mentale au sein d’une organisation… c’est L’AFFAIRE DE TOUS. Les métiers d’urgence sont difficiles et le soutien aux gestionnaires et aux équipes de travail est un prérequis à une communauté d’intervenants en bonne santé mentale pour mieux servir la clientèle qu’elle dessert.
Objectifs de l'atelier :
- Diminuer les tabous et préjugés dans votre milieu dans un atelier sans jugement
- Détection des différents troubles de détresses au sein des groupes de travail
- Démystification de la santé mentale et de la maladie mentale
- Améliorer l’accessibilité et l’efficacité des ressources de soutien de votre milieu
- Identifier et outiller au sein de votre organisation, des intervenants, en mesure de devenir des pairs-aidants et de poursuivre ultérieurement cette mission avec les ateliers
- Soutenir l’encadrement et le soutien aux intervenants lors du retour au travail à la suite d’une absence pour cause de santé mentale
Atelier de 3 heures
Concept abordé :
- Courage vs-lâcheté (ambivalence la vie vs mort)
- Souffrance -vs- résilience
- Retrait d’un pompier de sa fonction
- Le secret du suicide -vs- dénoncer
- État d’hypervigilance
- Fatigue de compassion
- Facteurs de stress chronique
- Facteurs de protection
- Filet de sécurité
- Signes à surveiller pour déceler la détresse
- L’humain derrière l’uniforme
- Positivité toxique
- L’anxiété
- Que doit faire l’entourage autour d’une personne en souffrance?
- Importance de demander de l’aide en priorisant l’être humain
- Estimation de l’urgence d’agir et analyse du processus suicidaire
- Exploration des priorités d’intervention sur votre groupe
- Entamer un consensus de groupe autour de solutions possibles
Déroulement
- Partage dans un atelier d’une durée de 3 heures
- Présentation d’un PowerPoint
- Possibilité de distribuer le livre "De l'uniforme au désir d'en finir" si votre organisation le souhaite
Comme le proverbe
« Seule on va vite ; ensemble on va plus loin »
« PARCE QU’IL VAUT MIEUX PRÉVENIR QUE MOURIR »
« Bien aimer le partage de l’histoire de Martine, bien structurée, cela va chercher mes valeurs de vie »
« Oui très pertinent, on n’a jamais eu d’aide et de suivi, cela va aider surtout avec les situations que l’on vit »
« C’est une nécessité dans les services d’urgence. Je ressors de cette formation avec un bagage et des outils pour aider mes collègues ou des membres de ma famille »
« Belle formation, beau partage de vécu, je vais être plus conscient des signes de détresse »
« Oui, très important de sensibiliser les gens à prendre conscience de l’importance de la santé mentale. Donc un suivi de la matière serait très important au moins une fois par année »
« Après avoir fait la formation de trois jours sur les pairs-aidants, j’ai trouvé cet atelier beaucoup plus efficace que trois jours de théorie sur les pairs-aidants »
« Faire des ateliers avec mon équipe c’est très bien. On voit les expériences de nos collègues et ça nous fait grandir. Cela nous sensibles sur les problèmes qu’ils vivent »
« Oui, j’ai apprécié cet atelier, j’ai appris des nouveaux outils d’intervention qui va me faire avancer dans le futur avec une personne qui a besoin d’aide en décelant les signes »
« Continue ton excellent travail, nos policiers ont besoin de toi, on aurait aimé une journée entière, il reste des non-dits »
« La prévention du suicide est très importante surtout lorsqu’on travaille dans la misère humaine et les situations de crise. Ça donne de bons outils. Merci ! Continuez votre beau travail »
« Belle formation ! Je l’avais eu au Cégep alors que je n’étais pas encore confronté à la vraie réalité policière. Et à ce jour, je me souviens encore de cette formation que j’ai suivie en 2017. L’outil le COQ je l’applique au travail depuis parce que je m’en souvenais »
« Un atelier qui va direct au but, ne passe pas par quatre chemins, les exemples donnés sont réels et le livre remis est apprécié »
« Excellent travail, continuer votre bon boulot et vous allez aider beaucoup de personnes »
« J’ai adoré l’aspect personnel qui se transpose à travers les groupes et amène une réflexion et me donne encore plus envie de prendre soin de mon « monde »
« Continuer de faire l’atelier, et ce dans tous les corps de police. Continuer aussi de le faire en atelier par équipe de travail, car cela permet de se souder. Entendre des faits vécus d’une policière nous aide à réaliser qu’on n’est pas si fou que ça d’avoir des émotions dans certaine de nos interventions »
« Très intéressante, très enrichissante, la formule atelier plutôt que conférence pour ce sujet est vraiment appropriée. C’est plus personnalisé et les personnes sont plus ouvertes à partager »
« La formule (atelier) est géniale, beaux échanges, les témoignages sont importants pour nous, car on s’identifie à votre expérience »
« L’énergie et l’engagement de Martine, l’échange avec les gens ça donne vie à l’atelier »
« Tour de table au début de l’atelier est très important et apprécié »
« Votre témoignage me permet d’avoir plus d’ouverture face au suicide »
« Plus une équipe tisse des liens, se connait, fait tomber les tabous liés à la santé mentale, plus le milieu est propice à dire qu’on ne va pas bien. Et lorsque l’on parle, on arrête la machine à rumeur »
Témoignages
Voici un aperçu des commentaires anonyme à la suite de nos ateliers.